Menu principal

Architecture civile

Architecture civile

Château du QuengoLe château du Quengo (XVI-XVIIIème siècle), situé route de Romillé. Assiégé et incendié durant les guerres de la Ligue, il est reconstruit vers 1830. On y trouve deux écussons du XVIème siècle aux armes de la famille de la Haye. La chapelle actuelle remplace une chapelle plus ancienne : la porte d’entrée (XV-XVIème siècle) est celle de l’ancien manoir de Villeneuve et on y voit les armes de la famille Fournier, seigneurs de Trélo. Propriété de Bertrand de La Haye en 1480. Propriété successive des familles de la Haye (en 1513), de Ferron (en 1682 et au XVIIIème siècle), Botherel (XIXème siècle), du Crest de Lorgerie (au XXème siècle) ;

Château de la Ville-au-SénéchalLe château de la Ville-au-Sénéchal (XVIIème siècle), situé route de Bécherel. Il possédait jadis une chapelle démolie en 1827. La chapelle de la Ville-au-Sénéchal dépendait de ce manoir, appartenant en 1513 à Pierre d’irodouër. En 1774, Louis de la Forest, seigneur de la Ville-au-Sénéchal, présenta François Demay pour desservir cette chapellenie, unie alors à celle de la Ville-Lieu, en place de Julien Poulnay, décédé (Pouillé de Rennes). Il n’a été conservé qu’un bénitier et une pierre tombale gravée des armes des de la Forest. La Ville-au-Sénéchal avait un droit de haute justice. Propriété de Guillaume d’irodouër en 1480. Propriété successive des familles irodouër (en 1513), Martin (en 1645), la Forest (en 1670) ;

Moulin à eau de Quengo5 moulins dont les moulins à eau du Plessix-Giffard, de la Roche, de Rabaté, de Bouvet, de Quengo ;


A signaler aussi :

  • l’ancien manoir du Plessis-Giffart, situé route de Bécherel. Il avait un droit de haute justice. Propriété successive des familles Giffart (en 1471), la Marzelière (en 1513), du Bouëxic (au XVIIIème siècle). Propriété d’Olivier Giffart en 1480 ;
  • l’ancien manoir du Pont de Nieul. Propriété de l’abbé de Paille-Levé (Pailvé) au XVIIIème siècle ;
  • l’ancien manoir de Rigour. Propriété de la famille la Chapelle, seigneurs de Trégomain en 1513 ;
  • l’ancien manoir du Boisjean. Propriété de la famille Ginguené au XIVème siècle ;
  • l’ancien manoir de la Noë, situé route de Romillé. Propriété de la famille Urceau, puis des familles Chefdemail et Fourni (en 1513) ;
  • l’ancien manoir du Clos-Bossart, situé route de Romillé. Propriété de la famille Giffart-Mauvoysin en 1513 ;
  • l’ancien manoir des Chapelles-Mauvoysin, situé route de Bédée. Propriété successive des familles Mauvoysin (en 1513). Les Chapelles-Valoyses, situées dans le voisinage, appartenaient à la famille Bourgneuf, puis à la famille Vaucouleur de Lanjamet (en 1513) ;
  • l’ancien manoir du Breil-Rond, situé route de Bédée. Propriété de la famille Breil en 1370 et en 1513 ;
  • l’ancien manoir de la Chaussonnière, situé route de Bédée. Propriété de la famille de la Haye en 1513 ;
  • l’ancien manoir du Frost ou du Frau. Propriété de la famille Frost (en 1460), puis de la famille Mauvoysin (en 1513) ;
  • l’ancienne Chapelle de l’Aubaudière, située route de Bédée. Elle était frairienne. La chapelle de l’Aubaudière était fondée d’une messe pour tous les dimanches. En 1790, elle avait 60 livres de rente, consistant en terres sises autour du village de l’Aubaudière ; ces terres relevaient des seigneuries du Plessix-Giffart et du Lou à devoir de 30 sols de rente féodale (Archives départementales d’Ille-et-Vilaine, 1 V, 29) ;
  • l’ancien manoir de la Ville-Lieu, situé route de Bédée. En 1513, Joachim Le Gac, fils de Jehan Le Gac, sieur de Pontelain, possédait la maison noble de la Ville-Lieu. C’est probablement à l’un ou l’autre de ces seigneurs qu’est due la fondation de la chapellenie de la Ville-Lieu, « fondée, est-il dit en 1699, de trois messes par semaine, par les seigneurs de Pontelain ». Dès 1563, en effet, Amaury Blanchet fut pourvu de ce bénéfice en place de Jean de Burond, décédé ; Pierre Callouet en 1698, et Jean de l’Espinay en 1699, lui succédèrent, ce dernier présenté par Jeanne de la Provoté, femme de Jacques de l’Espinay, habitant le manoir de Pontelain, en Landujan. En 1719, Louis de la Forest, seigneur de la Ville-Lieu, présenta à François de la Fosse cette chapellenie. En 1790, les deux fondations unies de la Ville-au-Sénéchal et de la Ville-Lieu valaient 252 livres de rente (Archives départementales d’Ille-et-Vlaine, 1 V, 29, et Registre des insinuations ecclésiastiques de l’évêché de Saint-Malo). Propriété de la famille le Gac, seigneurs de Pontelain (en 1513) et de la famille la Forest (en 1719) ;
  • l’ancien manoir de Villeneuve, situé route de Montauban-de-Bretagne. Propriété du Contôleur de Rennes (en 1513), puis des familles Trogoff (au XVIIIème siècle) et Ferron (au XIXème siècle) ;
  • l’ancien manoir de l’Hôpital, situé route de Montauban-de-Bretagne. Propriété de la famille Raymond en 1513 ;
  • l’ancienne Chapelle de l’Aubriotière, située route de Montauban-de-Bretagne. La chapelle de l’Aubriotière, située au village de ce nom, dépendait à l’origine du prieur de Saint-Lazare de Montfort, mais au XVIIIème siècle elle était considérée comme frairienne. Elle était desservie en 1790 par Jean Maudet, qui jouissait d’un revenu de 30 livres pour deux messes hebdomadaires dues le dimanche et le vendredi. Les terres formant le fonds de cette chapellenie relevaient toutefois encore de Saint-Lazare à devoir de 2 livres 12 sols de rente (Pouillé de Rennes) ;
  • l’ancien manoir de Bouvet, situé route de Landujan. Propriété de Marguerite de Goulaine (en 1513), puis des familles Sesmaisons (en 1566) et Botherel (au XVIIIème siècle) ;
  • l’ancien manoir de la Garenne, situé route de Landujan. Il possédait jadis une chapelle privée. La chapelle de la Garenne était bâtie auprès du manoir de ce nom. Par acte du 20 mars 1645, Guy Martin et Julienne de Launay, seigneur et dame de la Ville-au-Sénéchal et de la Boultrie, y fondèrent une messe pour tous les dimanches ; cette fondation fut approuvée par l’évêque le 30 mai 1653. Louis de la Forest, seigneur des Chapelles et de la Ville-au-Sénéchal, présenta en 1706 Joseph Broc pour la desservir ; mais en 1790 le service de cette chapellenie, ayant alors 54 livres de rente, se faisait à l’église (Pouillé de Rennes). Propriété de la famille Mauvoysin en 1513 ;
  • l’ancien manoir de Launay, situé route de Landjan. Propriété de la famille de Beaulieu (en 1513) ;
  • l’ancien manoir de la Chauverais, situé route de Landujan. Propriété de Marguerite de Goulaine, dame de Bouvet (en 1513) ;
  • l’ancien manoir de Carouët, situé route de Landujan. Propriété de la famille de la Houssaye (en 1513) ;